Crettaz, Et comme l’espérance est violente…
Et comme l’espérance et violente…
L’épidémie et la solidarité :
Ce film traite de notre condition d’humain face à l’épidémie que nous vivons aujourd’hui. Cette crise est un révélateur des individualismes, des inégalités et des fractures qui divisent nos sociétés. Une mise à nu forcée par cette crise sanitaire inédite, dont personne ne connaît l’issue. Nous sommes appelés à repenser notre manière de vivre, être attentif au monde qui nous entoure, aux autres et à la réalité de nos rapports. La question du climat que le jeunes à travers le monde mettent au-dessus de toutes les priorités nous met face à nos responsabilités.
Nous vivons une épreuve de résilience inédite en apprenant à apprivoiserle temps désormais suspendu depuis quelques mois déjà. Nous sommes dans une situation d’incertitude qui attise la peur… Comment allons-nous, nous confronter aux peurs qui surgissent en nous, aux mensonges, aux dérives inégalitaires, aux systèmes de santé défaillants, à la panique et à la mort dans la solitude ? Comment des millions d’hommes et de femmes à travers le monde, abandonnés à leur sort pourraient retrouver une dignité après cette crise ?
Dans ce film, nous aborderons aussi les tabous autour de la mort, de la maladie, de la vieillesse et des nouvelles solidarités. Tout cela, à travers l’expérience et le regard aiguisé du sociologue suisse Bernard Crettaz, créateur des cafés mortels et fervent défenseur de la parole libre autour de la mort.

